vendredi 30 mai 2008

Drop Criminal Charges Against The U of T 14


Des étudiants et étudiantes de l'université de Toronto sont en ce moment en lutte face à leur administration suite à la répression exercée par celle-ci le 20 mars dernier en envoyant les chiens de gardes de l'état arrêter 14 étudiantes et étudiants. Une action sera d'ailleurs organisé le 3 juin pour soutenir ces arrêtés. Voici un communiqué diffusé par ce groupe étudiant le 29 avril dernier (la traduction n'est pas génial mais on en comprend tout de même l'essence de la lutte en cours).



TORONTO, le 29 avril/CNW/ -Le scandale monte sur la prise de 14 étudiants qui sont en ce moment sous le coup d’une inculpation pour participer dans un sit-in paisible à l’Université de Toronto au 20 mars, 2008. Le sit-in, tenu pour protester des frais haussants, terminé quand la police suivant les ordres des administrateurs de UdeT ont enlevé avec force des manifestants. Dans les semaines qui s’est ensuivi, les étudiants et les organisateurs impliqués dans la protestation ont été assujettis à une campagne d’intimidation par l’administration de UdeT, qui a cherché une enquête criminelle de la question après ayant encouragé la Police de Toronto pour arrêter 14 individus et ayant les charges appuyées contre eux. Après avoir se livré [turning your self in????] la semaine dernière, les étudiants ont été relâchés sur les conditions de caution strictes qui les interdisent d’associer avec l’un l’autre d’ailleur de tribunaux etles classes, interdisant de cette façon leur liberté pour organiser sur le campus. Par ailleurs, le personnel, les étudiants et un ancien élève de UdeT ont été complètement interdites du campus de UdeTEn plus, l’universite réprime plus l’organisation d’étudiant sur le campus par enqueter au moins de treize étudiants sous le Code de Conduite d’Etudiant. L’ outrager aux prises et aux actions disciplinaires par l’ administration de UdeT a été exprimé par un nombre grandissant de professeurs et de personnel à l’Université de Toronto. « J’exhorte l’administration d’université pour exercer la restriction dans ces questions et évite ce qu’a l’air d’être une mesure severe sur l’activité politicale et l’expression de liberte à l’université, » a déclaré George Sefa Dei, unprofesseur des Etudes de Sociologie et Equité à OISE, l’Université de Toronto. Au lieu d’adresser les problèmes de l’inaccessibilite d’éducation a la universite, l’administration a recouru aux tactiques d’intimidation et de la répression, y compris la surveillance de police comme un moyens de supprimer tout dissentiment sur le campus. En rien découragé, les étudiants continuent organiser contre la tuition de plus en plus inaccessible. Sheila Hewlett, un organisateur avec le Comité pour l’Education Juste et un membre élu du Syndicat Etudiant des Arts et Sciences a UdeT note, « Nous devons regarder a qui est exclu quand ces augmentations de frais non cochées composent et rendons compte que l’éducation est de plus en plus inaccessible à beaucoup. L’expérience d’étudiant est à meilleur un de servitude de dette ; à pire, l’éducation est complètement indisponible au plus en plus de monde ». Le Comité pour l’Education Juste, qui inclut les étudiants chargés par la police, a donne les demandes suivantes: 1) l’accès Égal à l’éducation par l’élimination de tous frais. 2) L’administration de UdeT et de Police de Toronto tombent immediatement tous procédés contre les étudiants et les organisateurs et ils arrêtent la surveillance de dissentiment sur le campus. 3) La parite d’Etudiant, d’ travailleur, et de faculté sur les instances a UdeT comme si le Conseil d’ Administration. Devant un montagne de dette, les augmentations radicales dans la tuition et les frais subordonnés et un environnement hostile vers organiser d’étudiant sur le campus, un mouvement d’étudiant, qui fleurit, exige l’accès à l’éducation pour tous gens. Les alliés et les supporters des étudiants chargés faisent un appel au Ministre de la justice Chris Bentley et au Président de U de T Monsieur David Naylor à laisser toutes charges et tous procédés disciplinaires.

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