mercredi 1 octobre 2008

Un graffiti qui fait sourire

En cette maussade journée d'automne, me fallait pas grand'chose pour me réjouir un peu. En lisant l'actualité, je retiens une phrase du grand chef de l'union européenne, qui appelait, face à la crise financière, à une "réponse internationale".

"T'inquiète, mon beau bourgeois : ça viendra.."


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