Deux récentes émissions ont abordées des thèmes semblables. C'est pourquoi nous les mettons sous ce même message.
Le sabotage d'une voie ferrée en France a fait ressurgir le spectre de l'anarchiste terroriste. Cette fois, cet événement permet à l'État français de justifier sa violence. Le spectre des anarcho-autonomes, nouvelle menace intérieure, nouvelle fiction de la terreur Étatique. Qu'en est-il? voici une présentation principalement des deux principaux accusés: Julien Coupat et le livre l'insurrection qui vient écrit après les émeutes des banlieues françaises.
Partie 2 Cette histoire nous a poussé à nous intéresser à l'histoire de la propagande par le fait. Il s'agit d'une pratique d'attentats violents visant à tuer des personnes de la classe bourgeoise et autres privilégiées. Cette tactique fut surtout pratiquée par des anarchistes individualistes de la période du fin 19e et début 20e. C'est cette période de l'histoire de l'anarchisme qui stigmatisa l'image des anarchistes autour du jeteur de bombe. Cette pratique de terrorisme qui rendis célèbre Ravachol et Émile Henry était supposée mettre le feu au poudre, faire éclater une révolution qui ne vint finalement pas. Par contre dans la foulée de ces attentats, les États apprirent à se coordonner afin de lutter contre les adeptes (pas tous anarchistes) de la propagande par le fait. Ce qui rend intéressant cette chronique, c'est aussi cette histoire de la réponse de l'État. Pour les personnes curieuses, vous pourrez trouver la Déclaration de Ravachol à son procès où il finit guillotiné ici. La propagande par le fait 16 minutes (Cliquez sur le titre pour le télécharger en mp3)
Si je prends la parole, ce n’est pas pour me défendre des actes dont on m’accuse, car seule la société, qui par son organisation met les hommes en lutte continuelle les uns contre les autres, est responsable. -Ravachol
Lors d'une émission qui se voulait traiter du coup au Honduras, Mr Antonio Arturo -membre du front unis contre le coup au Honduras - nous a expliqué sa vision des luttes de libérations du prolétariats contre les différents impérialismes en Amérique Latine. Depuis la colonisation espagnole jusqu'aux Rough Riders (militaires étatsuniens putschistes) l'Amérique Centrale en passant par l'Espagne révolutionnaire de 1936 contre Franco, Mr Arturo nous partage sa vision des causes du coup d'État du Honduras. Pour contacter Mr Arturo: pueblo@sympatico.ca
Directement du site dailymotion.com extrait 1 extrait 2 - extrait 3 - extrait 4 - extrait 5 - extrait 6 - extrait 7 - extrait 8 - extrait 9 - extrait 10 - extrait 11 - extrait 12 Présentation générale : Le film d'Elio Petri "La classe ouvrière va au paradis", palme d'or au festival de Cannes 1972, est toujours introuvable à la vente, que ce soit en VHS ou en DVD. Disposant d'un enregistrement TV depuis sa diffusion sur la chaine ARTE dans les années 90, [l'auteur de la série a] décidé d'en poster quelques extraits sur Dailymotion en raison du grand intérêt qu'il présente pour évoquer la situation de la classe ouvrière au début des années 70 (et pas seulement en Italie).
Ces extraits numérotés de 1 à 12 dans l'ordre narratif du film, peuvent servir de supports à une exploitation pédagogique au lycée en cours de Sciences Economiques et Sociales, d'Histoire Géographie ou même d'italien.
Extrait n°1 : L'entrée des ouvriers dans l'usine. Dans ce premier extrait, on voit les ouvriers de la B.A.N. (entreprise italienne de mécanique) entrer dans l'usine sous les slogans d'étudiants gauchistes cherchant à éveiller leur conscience de l'exploitation et de l'aliénation qu'ils subissent et réclamant un front révolutionnaire uni des ouvriers et des étudiants. Cette scène illustre bien, sur un mode expressionniste, la situation politique et syndicale de l'Italie du début des années 70. Elle fait également écho au mouvement de contestation des étudiants et des ouvriers en France en mai 1968.
Le Front et Via Campesina lancent un appel à la solidarité internationale
À Montréal, le Front uni contre le coup d'État au Honduras manifestera, de 17 à 19 heures devant le Consulat des États-Unis. Cette manifestation aura l'appui de l'Union paysanne, organisation membre de la Via Campesina.
Nous demandons au gouvernement canadien : - d`exiger le retour immédiat du président Zelaya au pouvoir; - de cesser toute aide militaire et économique aux auteurs du coup d`État jusqu'au retour du président Zelaya au pouvoir; - et de respecter la volonté du peuple hondurien et de la démocratie constitutionnelle.
Appel à une Journée Mondiale d’Action pour le Honduras
À nos frères et soeurs de toutes les régions de La Vía Campesina, À nos frères et soeurs de tous les mouvements sociaux, À tous les peuples du monde:
Un peu plus d’un mois après le coup d’état militaire au Honduras et après 38 jours d’une lutte sans répit de milliers de paysan-ne-s, de femmes, d’autochtones, de professeurs, d’étudiants, de syndicalistes, de professionnels et de gens des villes et des campagnes pour mettre fin à ce coup d’état et restaurer la démocratie et la dignité, la répressions des putschistes n’a pas ébranlé l’esprit de lutte de l’héroïque peuple hondurien.
Cette lutte est désormais entrée dans une phase cruciale, après que le mouvement paysan hondurien et le Front National de Résistance au Coup d’Etat (Frente Nacional de Resistencia Contra el Golpe de Estado) aient appelé les mouvements sociaux, syndicaux et démocratiques à participer à une Marche Nationale qui débutera le 5 août et qui se terminera le 11 août à Tegucigalpa et San Pedro Sula.
Pour soutenir cette Marche Nationale, nos frères et sœurs du monde paysan et tout le peuple hondurien, La Vía Campesina lance un appel à une Journée Mondiale d’Action pour le Honduras, le 11 août prochain, afin d’exprimer la plus grande solidarité possible, en organisant des mobilisations, des activités politiques et culturelles, des actions de pression et de plaidoyer et toute autre activité qui puisse aider à la lutte populaire au Honduras et participer à l’échec du coup militaire.
LLamado a la manifestacion del 11 de agosto frente al Consulado de Estados Unidos, 1155, rue St-Alexandre, Montréal. Frente Unido contra el Golpe de Estado en Honduras. e-mail: pueblo@sympatico.ca - (514) 737-7817
Selon le bureau des sondages des ÉU, une maison sur 9 y serait vide. Pendant que ces maisons attendent d'être vendue par leur propriétaires légaux soit les banques ou le gouvernement, les familles qui y résidaient vivent dans la rue. Alors que les programmes gouvernementaux ne réussissent plus à répondre aux besoins de logements, un groupe appelé "Take Back The Land" prend les devant dans l'illégalité en ouvrant les maisons vides à des familles qui en ont évidemment plus besoin que les capitalistes. Voici un reportage avec un des organisateurs de ce groupe(25 min 36)
Si vous avez un peu moins de 25 minutes pour vous informez, voici un clip plus court, mais plus "crap media" aussi.
et à l'image voici les milles mots:
Take Back the Land By Max Rameau Tiré de Leftturn.org "news of the global intifada"
The recent economic volatility, marked by a housing boom spurred by massive gentrification and the current cycle of capital divestment resulting in mass foreclosures, has been a major challenge for a social justice movement caught off guard and flat footed. After high rates of housing construction during the boom years, the subsequent bust has witnessed hundreds of thousands of people evicted from their homes. The net result is a simultaneous increase in both the number of homes and the number of families without homes.
It is immoral for human beings to be forced to live on the streets while perfectly good structures stand vacant, sometimes just blocks away. This moral outrage is only compounded by a bailout which extracts billions of dollars from people who need housing for the benefit of corporations which get to keep both the money and the vacant homes, allowing the bank to, effectively, sell the home twice.
While the January 2008 census reported 4,574 homeless people in Miami-Dade County, Florida (including a spike in homeless families), the county endured 4,726 foreclosure-related evictions during the first four months of 2008. Rarely in the social justice movements do the solutions lie in such obvious proximity to the problems they’re meant to solve.
Grassroots organization
In October 2007, Take Back the Land, a Black led, Miami-based grassroots organization,began identifying vacant government owned and foreclosed homes and moving homeless people into them, without permission from the banks or the government. To date, we have liberated seven homes with seven families.
Early on we recognized the movement to liberate housing benefited everyone involved: the occupied homes are protected from the vandalism that often plagues vacant houses, saving the bank thousands in repairs. Families are provided housing security with obvious financial benefits and less obvious mental health benefits from reduced stress levels. Communities are made stronger by the elimination of vacant homes and the neighborhood involvement of their new occupants.
Take Back the Land met for many hours hashing out our guidelines for conducting move-ins. First, we decided to only liberate vacant homes that are government-owned or foreclosed. Additionally, we only select homes in good physical condition, without significant wall or floor board damage.
We find the homes via foreclosure lists or by going street to street, and have them checked out by our scout team and researchers. As for tenants, we focus on families and do not move people with problems that could be exacerbated by living alone, such as severe drug addiction or mental health conditions. We provide them with a standard care package of cleaning supplies and customized donations based on their individual needs such as beds, children's clothes, etc. We do not provide social services, but share phone numbers of appropriate agencies. All families are required to contribute “sweat equity” by cleaning, painting and moving into their homes.
Tenants are given phone numbers and told what to say in the event the police or property manager shows up. They are required to maintain electricity and running water and, equally as important, to be good neighbors. We generally meet and talk with one or more neighbors in advance and encourage the tenants to continue those conversations with them.
Each “move-in” has been handled well, resulting in a full eviction process and not an arrest. Each family has decided to leave the home rather than fight to remain--so far.
Factors conspire
Invariably, every society suffers contradictions between competing sets of rights, such as the right of free speech versus the right to peace and quiet. Each society negotiates those dilemmas, building its culture and history along the way. Every so often, however, factors conspire to heighten contradictions so significantly that the society forever changes as a result.
US society is hurtling towards a major social clash between two contradictory sets of rights: the right of human beings to housing on one side and the right of corporations to maximize profits on the other. The housing bubble demonstrated clearly that the right of corporations to profit threatens the right of many human beings to secure housing. Conversely, the housing bust indicates that the right of human beings to housing encroaches upon the right and ability of corporations to maximize profits by holding on to vacant housing until prices rise again.
Consequently, the economic crisis is compelling a vigorous struggle to determine which set of rights has priority over the other and how that priority is manifest in public policy and day to day life. The struggle will result in a significant social shift which will either see housing elevated to the level of a human right or corporate interests elevated above those of humans. Take Back the Land asserts that the right of human beings to housing supersedes the corporate drive to maximize profits. We advance that assertion by directly challenging existing laws which favor corporate profits over human needs. We urge those who concur to join the struggle for the liberation of land. Forward.
Max Rameau is with Take Back the Land a project of the Center for Pan-African Development. His book, Take Back the Land: Land, Gentrification and the Umoja Village Shantytown, is available on Amazon.com. For more information visit: Take Back the Land or email: takebacktheland@gmail.com. Blog: http://takebacktheland.blogspot.com/
Lisez le Cahier du "comité du 8 mars" en cliquant sur l'image. Des textes tels que "Pourquoi je suis féministe?" - "Les drogues du viol sont-elles un mythe?" - "Femmes autochtones" - "Les femmes face aux forces de l'ordre" - "L'anarcha-féminisme" et plus encore...
Lire notre journal: Cause Commune
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Collectif du 19 juillet
En tant que collectif communiste libertaire fédéré à l'union communiste libertaire(*), nous désirons mener une lutte contre les gouvernements autoritaires et nous voyons la révolution sociale comme la seule solution au problème. Nous nous opposons au concept même de l’État, car nous croyons que partout, il sert d’instrument aux plus riches afin d'oppresser les plus pauvres dans le but de perpétuer les inégalités et injustices sociales et économiques, de maintenir l'ordre.
Nos principes de base sont la solidarité avec les luttes locales, régionales et internationales; la défense et le développement des libertés individuelles et collectives. C’est dans cette voie que nous encourageons la création de groupes autogérés et favorisons la collectivisation des ressources et des moyens de production. Nous ne voulons plus que les patrons, les politiciens et tous les autres petits chefs et gouroux du prêt à penser, décident ce que nous allons manger, payer, faire, travailler, penser. Nous voulons être libre de ces vautours.
Nous rejetons toute forme d’autorité qui juge et oppresse l’individu telle que la religion et la tradition patriarcale. Nous nous opposons aux guerres impérialistes et à l’idéologie capitaliste, car elles mettent au profit l’exploitation, la violence et les injustices sociales, et que celles-ci empiètent inévitablement sur les droits humains. Nous encourageons également les mouvements de résistance radicale qui s’opposent aux abus de tout système et pensée autoritaire comme le racisme et le fascisme, l'ultra-libéralisme économique.
Nous croyons aussi que ceux qui parlent de révolution sans faire référence aux jouissances de la vie de tous les jours, ont dans la bouche, un cadavre.
Pour le communisme, VIVE LA LIBERTÉ! VIVE L'ANARCHIE!
Collectif 19 Juillet ____________________
Pour nous rejoindre: ucl.sherbrooke@causecommune.net
(*) Fondé le 24 novembre 2008, l'UCL réunis des collectifs à Qc, Mtl, Saguenay, St-Jérôme. L'UCL fait partie de la NEFAC Northeasthern Federation of Anarchist Communists - Fédération Anarcho-Communiste du Nord-Est